lundi 13 août 2007

En route pour de nouvelles aventures !

La suite de la semaine fut finalement tout aussi sportive . Au programme, découverte des îles d'Or : Porquerolles (à vélo!) et Port-Cros, où nous avons suivi le sentier sous-marin (1 heure de masque et tuba au milieu des poisson :-) ; balade en vélo jusqu'à La Londe-Les-Maures et deuxième sentier sous-marin, bien plus court cette fois ; et enfin, plage et match de water-polo (très fatigant).


Port-Cros


Sieste à Porquerolles


Brouillard sur La Londe-les-Maures


Nette différence avec la semaine précédente : fini les repas d'ascète, et place aux apéros, resto et barbecues ! Mais ça, c'est le sujet d'un autre blog que je vous laisse découvrir :

http://nanoudoudouchippy.skyrock.com/

Un dernier petit mot sur le retour . Après avoir espéré ne rentrer que le samedi, j'appris au dernier moment le vendredi midi qu'il n'y avait pas de place pour le vélo le lendemain. Pas le temps de traîner, je devais me dépêcher de parcourir la vingtaine de kilomètres jusqu'à Toulon pour prendre le train de 15 h . Pour ne rien arranger un vent d'Ouest très violent s'était levé, que je prenais donc de face tout le trajet... Pendant ce temps, deux petits veinards faisaient leur baptême de plongée à Porquerolles, à l'abri du vent !

Voilà, je m'en retourne vers Toulouse par le train Corail (10 euros de plus pour le vélo, mais au moins, c'est direct). Je revois Arles, Beaucaire, Nîmes, Montpellier, Bézier, Narbonne, Carcassonne, Castelnaudary... le tout en quelques heures quand ça m'a pris 7 jours dans l'autre sens. Au moins, j'étais tranquille, tandis que dans le train, j'assiste impassible à un réglement compte entre mère et fille, avec la petite-fille qui pleure au milieu... Quand est-ce qu'on repart ?

Tant pis, je passe la dernière demi-heure debout près de mon vélo, loin de tout ça.

Arrivée à Toulouse ! Je retrouve avec plaisir l'eau verte du Canal du Midi! Il est 20 heures, juste le temps de parcourir les 12 km jusqu'à Castanet avant que la nuit tombe.

Il fait encore très bon, j'aurais eu de la chance pendant 15 jours . Le lendemain, il se remettait à pleuvoir... drôle d'été .

Voilà, je laisse mon vélo chez ma soeur avant de m'en retourner sur Paris pour reprendre le boulot, des souvenirs plein la tête.

Vivement l'année prochaine !